Par Arnaud Marquant, directeur des opérations KB Crawl SAS À l'aube d'une nouvelle ère numérique, la Journée mondiale de la sauvegarde des données, célébrée le 31 mars, nous offre un moment de réflexion critique sur notre rapport aux données. Dans une époque marquée par une digitalisation accrue, la sauvegarde des données se positionne au cœur des débats sur la sécurité, la conformité et la continuité des activités. De bonnes pratiques de sauvegarde essentielles La sauvegarde des données commence par des gestes simples mais cruciaux d'hygiène numérique, préconisés par des institutions telles que l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) en France. Ces mesures de base incluent la réalisation de copies de sauvegarde régulières, la mise à jour des systèmes et des applications, ainsi que la sensibilisation à la cybersécurité. Le renforcement du cadre juridique autour de la gestion des données personnelles, comme le Règlement général sur la pro
Vous envisagez de changer de fournisseur d'accès à internet ou de vous abonner pour la première fois à une offre internet haut débit/téléphone fixe illimité/télévision ? Cela vaut peut-être le coup d'attendre quelques semaines, le temps que les fournisseurs dévoilent leurs nouveautés. Car pour les fêtes de fin d'année, c'est bien une guerre des box qui se profile.
SFR et Free doivent ainsi lancer leurs nouvelles box d'ici Noël. Une nécessité surtout pour Free dont la 5e version de son boîtier - sortie en avril 2006 - commence à dater.
À l'époque, Free avait pris une longueur d'avance technologique en proposant des fonctionnalités inédites (TNT haute définition, enregistrement par disque dur, etc.), ce qui lui avait permis de rafler entre 22 et 26 % de parts de marché des nouveaux abonnés ADSL sur les trimestres qui avaient suivi le lancement. Depuis, SFR, qui a absorbé Neuf, mais aussi Bouygues Télécom et Orange sont revenus dans la course.
Pour la 6e version de la Freebox, Maxime Lombardini, directeur général de Free, a récemment promis une « innovation majeure ». Du coup les rumeurs vont bon train. La future Freebox pourrait être dotée d'un processeur plus puissant ; d'un module 3G (femtocell) pour améliorer à domicile la couverture de son mobile ; disposer d'une offre de jeux en ligne ; permettre de naviguer sur internet directement depuis le poste de télévision, voire disposer d'un lecteur DVD Blu-ray.
Du côté de SFR - qui doit lancer aujourd'hui une offre de jeu à la demande - on prépare aussi une nouvelle box, « avant la fin de l'année », selon Frank Cadoret, directeur général grand public et professionnel de SFR. Le 2e opérateur - qui dispose d'un réseau de téléphonie mobile, contrairement à Free - devrait jouer à fond la carte des services avec une offre basique et premium quadrupleplay. L'objectif, commun à tous les fournisseurs d'accès à internet, étant bien sûr d'augmenter le revenu mensuel par abonnés.
Si SFR et Free sont concurrents sur le net voire en franche opposition - SFR refuse d'ouvrir son réseau 3G à Free - les deux fournisseurs se retrouvent en accord sur un point : la hausse de la TVA sera répercutée sur la facture du client, signant la fin du forfait à 29,90€.
SFR et Free doivent ainsi lancer leurs nouvelles box d'ici Noël. Une nécessité surtout pour Free dont la 5e version de son boîtier - sortie en avril 2006 - commence à dater.
À l'époque, Free avait pris une longueur d'avance technologique en proposant des fonctionnalités inédites (TNT haute définition, enregistrement par disque dur, etc.), ce qui lui avait permis de rafler entre 22 et 26 % de parts de marché des nouveaux abonnés ADSL sur les trimestres qui avaient suivi le lancement. Depuis, SFR, qui a absorbé Neuf, mais aussi Bouygues Télécom et Orange sont revenus dans la course.
Pour la 6e version de la Freebox, Maxime Lombardini, directeur général de Free, a récemment promis une « innovation majeure ». Du coup les rumeurs vont bon train. La future Freebox pourrait être dotée d'un processeur plus puissant ; d'un module 3G (femtocell) pour améliorer à domicile la couverture de son mobile ; disposer d'une offre de jeux en ligne ; permettre de naviguer sur internet directement depuis le poste de télévision, voire disposer d'un lecteur DVD Blu-ray.
Du côté de SFR - qui doit lancer aujourd'hui une offre de jeu à la demande - on prépare aussi une nouvelle box, « avant la fin de l'année », selon Frank Cadoret, directeur général grand public et professionnel de SFR. Le 2e opérateur - qui dispose d'un réseau de téléphonie mobile, contrairement à Free - devrait jouer à fond la carte des services avec une offre basique et premium quadrupleplay. L'objectif, commun à tous les fournisseurs d'accès à internet, étant bien sûr d'augmenter le revenu mensuel par abonnés.
Si SFR et Free sont concurrents sur le net voire en franche opposition - SFR refuse d'ouvrir son réseau 3G à Free - les deux fournisseurs se retrouvent en accord sur un point : la hausse de la TVA sera répercutée sur la facture du client, signant la fin du forfait à 29,90€.