Par Kathleen Desveaud , Kedge Business School L’intelligence artificielle promet un soulagement face à l’ennui des tâches répétitives au travail, mais son usage excessif pourrait entraîner une déqualification progressive et une nouvelle forme de frustration professionnelle. Entre automatisation bénéfique et risque de « travail zombie », comment faire de l’IA un allié du développement des compétences plutôt qu’une source d’appauvrissement cognitif ? L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les métiers est un sujet majeur , qui a été traité dans de nombreuses études . Si la question de la disparition des emplois retient souvent l’attention, une autre question de fond mérite d’être considérée : comment ces technologies transforment et transformeront-elles concrètement le quotidien, les compétences et la motivation des travailleurs ? L’IA, un remède contre l’ennui au travail ? L’IA est parfois présentée comme un parfait remède a...
Depuis 2007, le Baromètre de l'intrusion de Publicis ETO étudie la perception des consommateurs sur ces pratiques et le degré d'intrusion qu'ils en ont.
Les marques mettent, en effet, de plus en plus en place des programmes marketing (newsletters, clubs, programmes de fidélisation, applications pour smartphones) pour mieux connaître et fidéliser leurs clients. Le petit baromètre de l’intrusion de Publicis ETO révèle que les craintes des consommateurs sont loin de disparaître et que le sujet de la privacy (protection des données personnelles) est plus que jamais d’actualité mais également que les consommateurs mûrissent dans l’appréhension de ce sujet. Ainsi « 55% des Français veulent gérer par eux-mêmes l'accès des marques à leurs données personnelles »