Par Alexis Thobellem co-fondateur d’AURA Groupe EDG Lorsqu’un dirigeant prend la parole sur LinkedIn ou sur un autre réseau social, nous voyons un message lisse, calibré, souvent percutant. Mais derrière cette publication, combien se sont déjà posé la question : qui écrit réellement ces lignes ? Est-ce le PDG lui-même, entre deux réunions ? Est-ce son équipe communication ? Est-ce un collaborateur de l’ombre ? La communication des grands dirigeants n’est plus un luxe accessoire. C’est devenue un levier stratégique de leadership, de rayonnement et d’incarnation de l’entreprise. Pourtant, rares sont les dirigeants qui disposent du temps, du recul et de la vision globale nécessaires pour façonner un message à la fois authentique, aligné sur leur stratégie et connecté à l’actualité. Pris dans le rythme opérationnel, absorbés par les décisions de court terme, ils peinent à lever la tête pour penser à leur image et à celle de leur organisation. C’est là qu’intervient une nouvelle exper...
Peut-on révolutionner la messagerie instantanée ? Peut-on concurrencer les mastodontes que sont Facebook Messenger, Whatsapp, iMessage . Oui répond la jeune start-up PitPut qui se lance sur ce marché très concurrentiel avec une innovation : la messagerie réellement instantanée. C'est-à-dire que lorsque l'on est dans une discussion textuelle, en lieu et place des trois points de suspension ou de la phrase "est en train d'écrire" qui s'affichent lorsque l'interlocueur est en train de rédiger sa réponse, on voit avec PitPut les caractères s'afficher au fur et à mesure...
"Il s'agit de la première application de chat permettant de recréer des conversations comme à l'oral", explique les trois fondateurs. Le trio d'entrepreneurs est composé de Manuel Munz, ancien élève de l’école Polytechnique et de l’Ecole Nationale d’Administration; producteur de films (La Vérité si je mens 1,2,3…) ; de Xavier Fischer, ancien élève de l’école Centrale Paris, de retour de San Francisco après le rachat par Apple début 2016 de la start-up Emotient dans laquelle il officiait ; et de Simon Kemoun, ancien business intelligence analyst chez tiangi.com a Pekin mais aussi chez Hearst Magazine à Londres.