Par Jeff Wittich, Chief Product Officer chez Ampere Computing Chaque année, à l'approche du Black Friday et du Cyber Monday (période également appelée Cyber Week), des millions de consommateurs en France se connectent en ligne pour rechercher les meilleures offres. Ce qui a commencé comme un évènement marketing est devenu l'un des jours les plus exigeants de l'année sur le plan numérique. Rien qu'en 2024, les ventes mondiales en ligne pendant la Cyber Week ont dépassé les 314 milliards de dollars dans le monde (environ 271 milliards d’euro) en une seule journée, en raison de la multitude de requêtes, de recommandations et de transactions traitées en simultané. En 2024, à l’occasion du Black Friday et du Cyber Monday, la France figurait parmis les cinq premiers pays européens à prévoir des achats dans les dix prochains jours, au côté d’autres pays comme, l’Allemagne, l’Italie, l'Espagne et le Royaume-Uni. Derrière l'expérience intuitive du shopping en ligne se ca...
Peut-on révolutionner la messagerie instantanée ? Peut-on concurrencer les mastodontes que sont Facebook Messenger, Whatsapp, iMessage . Oui répond la jeune start-up PitPut qui se lance sur ce marché très concurrentiel avec une innovation : la messagerie réellement instantanée. C'est-à-dire que lorsque l'on est dans une discussion textuelle, en lieu et place des trois points de suspension ou de la phrase "est en train d'écrire" qui s'affichent lorsque l'interlocueur est en train de rédiger sa réponse, on voit avec PitPut les caractères s'afficher au fur et à mesure...
"Il s'agit de la première application de chat permettant de recréer des conversations comme à l'oral", explique les trois fondateurs. Le trio d'entrepreneurs est composé de Manuel Munz, ancien élève de l’école Polytechnique et de l’Ecole Nationale d’Administration; producteur de films (La Vérité si je mens 1,2,3…) ; de Xavier Fischer, ancien élève de l’école Centrale Paris, de retour de San Francisco après le rachat par Apple début 2016 de la start-up Emotient dans laquelle il officiait ; et de Simon Kemoun, ancien business intelligence analyst chez tiangi.com a Pekin mais aussi chez Hearst Magazine à Londres.
