Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...
Surfer sur internet lors de vols longs courrier, c'est déjà possible mais souvent très cher. Les choses vont bientôt changer et devraient être plus abordables grâce à la décision rendue par l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes). Le gendarme des télécoms a décidé d'autoriser Inmarsat Ventures Limited à exploiter des antennes relais terrestres 4G complémentaires à son système mobile par satellite en bande MSS 2 GHz.
Dans sa demande à l'Arcep, Inmarsat indiquait que ce réseau serait composé au maximum de 50 stations déployées sur le territoire métropolitain, qu’il serait installé dans la zone de couverture de son satellite Europasat lancé le 258 juin 2017.
L’autorisation délivrée à Inmarsat par l'Arcep, après une phase de consultation, lui permet, dans le cadre de son projet EAN (European Aviation Network), de proposer des services d’accès à internet dans les avions grâce à une double connectivité : par satellite et par l’usage complémentaire des antennes relais au sol.
Le projet EAN, réalisé avec Nokia, nécessite la construction de 300 sites en Europe, dans les 28 pays plus la Suisse et la Norvège.