Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
L'Institut National de la Propriété Industrielle (INPI) a comptabilisé 771 demandes de brevets venant d'Occitanie, publiées en 2018, soit 5,9 % des demandes publiées en France.
"Le TOP 15 représente la diversité des typologies de déposants en région Occitanie, avec quatre grandes entreprises (Airbus, Continental, Safran et Horiba ABX SAS), une entreprise de taille intermédiaire (Liebherr-Aerospace Toulouse SAS), six PME et quatre établissements d’enseignement supérieur et de recherche", indique l'INPI.