Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
Dans le contexte de crise sanitaire où les cyberattaques se multiplient et de grands groupes français en subissent les conséquences, Robert Walters dévoile les résultats d'une enquête réalisée auprès de managers de transition experts des systèmes d'information. Pour 66% d'entre eux, les investissements financiers des entreprises sont insuffisants pour traiter les problématiques de sécurité informatique.
Selon une étude réalisée par le cabinet Robert Walters auprès de managers de transition experts en systèmes d'information, les sujets de cybersécurité explosent dans les entreprises. En effet, ils sont 77% à affirmer que ce type de problématiques est de plus en plus présent dans leurs missions de transition : les sujets d'audit, d'anticipation de crise et de réorganisation des organisations étant les principaux.
Cependant, 66% de ces managers de transition considèrent que les investissements financiers des entreprises sont insuffisants pour faire face aux problématiques de sécurité informatique. Outre le manque de compétences des ressources internes dans le traitement des risques (51%) et l'incapacité à identifier et superviser les risques (48%), les experts interrogés sont 43% à estimer que le manque de maturité des entreprises s'observe aussi dans la trop faible sensibilisation des collaborateurs à la sécurité.
Par ailleurs, alors que 58% des managers de transition affirment que les services sécurité sont généralement rattachés à la DSI, ils considèrent à 57% qu'il serait préférable qu'ils soient rattachés à la Direction générale ou à la Direction des risques/Conformité/Sûreté pour une meilleure efficacité.
« Alors que la mise en place du télétravail prolongé a rendu les entreprises vulnérables, la sécurité des systèmes d'information est au cœur des problématiques actuelles des entreprises. En effet, les attaques se multiplient et le phénomène risque de s'intensifier dans les prochains mois. Les managers de transition spécialistes de la sécurité des SI peuvent répondre à l'urgence, en mettant en place des plans d'action et en construisant un écosystème de partenaires, afin de gérer la crise et de protéger l'entreprise à plus long terme. » commente Clémence Richard, Senior Manager, Robert Walters Management de Transition.