L’Arcep publie la deuxième édition de son observatoire dédié à l’extinction des réseaux 2G et 3G. Malgré la baisse constatée au troisième trimestre 2025, 5,6 millions de cartes SIM restent actives sur ces technologies en France métropolitaine, alors que les opérateurs approchent des échéances de coupure. À un an des premières échéances d’extinction annoncées par les opérateurs, l’Arcep affine son diagnostic sur la transition vers les technologies 4G et 5G. La deuxième édition de l’observatoire lancé en septembre 2025 confirme un recul du parc de cartes SIM encore limité aux réseaux 2G ou 3G/2G, mais le volume résiduel demeure significatif : 5,6 millions d’unités en service à fin septembre. Sur un trimestre, le retrait de 285 000 cartes, soit – 4,8 %, traduit une dynamique engagée mais insuffisante au regard du calendrier de fermeture des réseaux historiques. L’analyse distingue clairement les usages. 2,6 millions de cartes SIM, représentant 47 %...
Cette semaine, Apple a fêté le dixième anniversaire de l'iMac, son ordinateur fixe vedette. En 1998, alors que la firme à la pomme est moribonde, Apple présente le successeur du mythique Macintosh avec lequel elle espère rebondir. Le pari, audacieux, est autant esthétique que technique. Esthétique car l'iMac adopte un design tout-en-un jamais vu jusqu'alors et qui tranche avec les machines du monde PC, souvent beige. Le designer Jonathan Ive, en effet, a imaginé un drôle d'ordinateur tout en rondeur, translucide et coloré selon plusieurs ton. Un ordinateur doté d'un lecteur de CDROM mange-disque et, surtout, dépourvu de lecteur de disquettes. Une petite révolution à l'époque où nos si pratiques clefs USB étaient encore rares. Mais le pari d'Apple s'est transformé en jackpot. L'engouement du public ne s'est jamais démenti, à telle enseigne que l'iMac G3 reste à ce jour l'ordinateur qui s'est le plus vendu au monde avec 6 millions d'exemplaires. Apple a également eu le flair de faire évoluer le concept de l'iMac en adaptant son design à la mode du moment. Ainsi on a vu apparaître l'iMac G4 « tournesol » avec son écran plat flottant sur une demi-sphère ; puis l'iMac G5 aussi plat que son ancêtre était rond et qui, ultime révolution marche aussi avec Windows.