Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...

Pour des raisons juridiques et de sécurité, Barack Obama aurait dû se défaire de son Blackberry, le mobile préféré des cadres pour envoyer leurs e-mails, au moment d'entrer à la Maison Blanche. Mais pour le cyberprésident américain, qui a utilisé internet comme personne durant sa campagne, pas question de se passer de son smartphone. Les services secrets ont donc cédé et fourni au nouveau président un téléphone ultra-sécurisé coûtant quelque 3 000€. Étanche et très solide, l'appareil, un peu mastoc, a été conçu par la firme Sectera en collaboration avec la NSA pour le cryptage des données. Barack Obama utilisera cet appareil unique en son genre pour communiquer avec ses proches collaborateurs et sa famille.

