Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...

E-mail, chat, login, password, hacker, bug… Les mots d'internet sont souvent en anglais et il faut bien dire qu'au contraire de nos cousins Québécois qui ont inventé « courriel » pour « e-mail » ou « babillard » pour « chat », les Français ne font guère preuve de créativité. Pour autant, les initiatives ne manquent pas pour défendre la langue française sur la Toile. La Délégation générale à la langue française et aux langues de France concourt ainsi, en lien avec la Commission générale de terminologie et l'Académie française, à l'élaboration de néologismes permettant à chacun de disposer d'équivalents français aux termes étrangers. Déjà 5 000 termes ont été publiés au Journal officiel et sont accessibles sur www.franceterme.culture.fr. Un dépliant « Vous pouvez le dire en français » propose de nouveaux mots comme « arrosage » pour le spamming.