Friedrich Merz et Emmanuel Macron - Photo Bundesregierung / Jesco Denzel. Réunis à Berlin pour un sommet sur la souveraineté numérique, la France et l’Allemagne ont scellé une feuille de route commune pour renforcer l’autonomie technologique européenne. Simplification réglementaire, normes de protection des données, investissements massifs et développement d’une IA d’avant-garde structurent cette stratégie, alors que l’Europe tente de combler son retard face aux États-Unis et à la Chine. Le hasard fat parfois bien les choses. Alors qu’un Sommet sur la souveraineté numérique européenne s’est tenu ce mardi 18 novembre à Berlin, le monde et donc l’Europe faisaient face à de nombreux sites internet en panne. Plusieurs sites, dont le réseau social X et la page d’accès de l’agent conversationnel ChatGPT, ont été perturbés en raison d’un incident technique touchant le fournisseur américain de services Cloudflare, utilisé par 20 % des sites dans le monde. On aurait voulu démontre...
Futurapolis. Peu de termes peuvent s’enorgueillir de posséder en eux autant de promesses d’avenir : le futur dans toutes ses dimensions scientifiques, politiques, sociétales, par le prisme de la «polis», la cité, la ville, la mégapole, qui attire plus de la moitié de l’humanité. Une corrélation à dessein car c’est bien dans les métropoles que se jouent, aujourd’hui, les organisations humaines de demain en matière d’attractivité, de transport, d’environnement, de réseaux : autant de domaines reliés entre eux par l’innovation. La troisième édition de Futurapolis, lancé en 2012 parle magazine le Point avec le soutien de Toulouse Métropole et de la Région Midi-Pyrénées, va donc explorer ce que l’innovation peut apporter à notre quotidien, au travers de tables-rondes, de démonstrations et des 24 heures de l’innovation ; un marathon qui présentera 48 innovateurs.
Les éditions précédentes de Futurapolis ont connu un immense succès avec plus de 12 000 personnes et cette année encore le public devrait être au rendez-vous* pour partager avec quelque 170 intervenants venant d’horizons très différents. Parmi eux l’architecte Jean-Michel Wilmotte, l’écrivain Ken Follet, l’astrophysicien André Brahic, le climatologue Jean Jouzel, le président d’IBM Alain Bénichou ou l’académicien Erik Orsenna.
Tous ont en point commun de porter un regard aiguisé surle devenir de l’Homme confronté à la technologie. Et cette année, au-delà du thème général de l’électricité, les robots seront clairement les invités vedettes, à l’image de Romeo d’Aldebaran Robotics présenté ci-contre.
C’est que la robotique - qui constitue l’un des fleurons de Midi-Pyrénées avec le cluster Robotics place et des laboratoires comme le LAAS à Toulouse - deviendra de plus en plus une réalité, tant ce domaine est transversal (informatique, santé agriculture, assistance, etc.) et mobilise de multiples disciplines. Surtout, la robotique - et particulièrement les robots humanoïdes - constitue l’un des meilleurs points de convergence entre la réalité scientifique et ce qui la fait progresser : le rêve de chacun d’entre nous.
Inscriptions sur wwww.futurapolis.fr
