Mike_Shots/Shutterstock Par Caroline Diard , TBS Education et Vincent Meyer , EM Normandie Le contrat de travail donne à l’employeur un pouvoir de direction, incluant le contrôle des tâches effectuées en contrepartie d’une rémunération. Mais peut-on vraiment surveiller les télétravailleurs à leur insu ? La généralisation du télétravail a modifié le lieu d’exercice du travail – en mode nomade, à domicile, en tiers-lieu – et provoqué une imbrication des temps et espaces de vie. La banque états-unienne Wells Fargo a licencié une dizaine de collaborateurs au motif que ses salariés utilisaient un simulateur de mouvement de souris pour contrer le logiciel installé par leur employeur pour contrôler leur activité. Le géant bancaire brésilien Itaú a, quant à lui, tranché la question de la productivité de ses salariés en télétravail de façon radicale avec le licenciement de 1 000 salariés. Ces deux affaires très médiatisées interroge...
Le toulousain ffly4u, spécialisée dans le suivi des actifs mobiles et des biens via des solutions de connectivité bas débit, et ThingWorx, une branche de PTC et l’un des principaux fournisseurs de plateformes pour l’Internet des Objets (IdO ou IoT), annoncent leur collaboration.
Dans le cadre de cette collaboration, ffly4u utilise la plateforme IoT ThingWorx comme interface graphique utilisateur via un navigateur connecté à son serveur Cloud. Cette plateforme unique lui permet de collecter en temps réel nombre de données, telles que la température d’un container, le poids d’une palette ou encore le mouvement ou position d’une remorque. En fonction de la demande des clients, ThingWorx vient structurer ces données sous forme d’indicateurs clefs de performance (KPI), d’informations de géolocalisation, d’alertes sms, etc... Ces informations deviennent alors une valeur ajoutée pour les clients utilisateurs de ffly4u en charge de la chaîne logistique.