L’appareil photo n’est pas mort, il a changé de forme. Longtemps compagnon de voyage ou de moments familiaux, le boîtier numérique classique s’est effacé sans bruit devant un rival inattendu : le téléphone portable. En une décennie, les usages se sont inversés et selon les dernières données de Photutorial, plus de 92 % des photographies prises en 2025 le sont avec un smartphone, contre à peine 7 % pour les appareils dédiés. Autrefois emblème de la maîtrise technique, l’appareil photo grand public n’est plus que l’ombre de lui-même et les ventes s’effondrent. Mais la photographie, elle, reste. C’est dans ce paysage transformé que s’inscrit l’ouvrage " Smart Photos " de Jo Bradford, publié aux éditions Eyrolles. Photographe de formation, militante de l’image populaire, l’autrice britannique entend répondre à un besoin clair : redonner du sens et de la méthode à ce geste devenu universel — prendre une photo avec son téléphone. La photographe entend expliquer ...
Selon un sondage Odoxa pour les Rendez-vous de l’innovation réalisé en partenariat avec Microsoft, Stratégies, BFM-Business, 01 net et l’Usine nouvelle, 52% des Français sont opposés à la création du fichier TES.
Sur les données personnelles, les Français affirment être très majoritairement préoccupés par la protection de leurs données. 78% d’entre eux le disent. Cette inquiétude est par ailleurs partagée par toutes les classes d’âges et sociales, observe Odoxa.
Pour les Français, la création de fichiers numériques est utile (62%) mais elle remet aussi en cause certaines libertés et le respect de la vie privée (71%).
La polémique a été grande ces derniers jours. Accusé par Axelle Lemaire d’avoir souhaité faire passer le décret « en douce, un dimanche de Toussaint », Bernard Cazeneuve a finalement promis un débat parlementaire tout en conservant le principe du décret.
Le gouvernement serait-il représentatif des Français ? Peut-être bien sur cette question. Tiraillés entre l’utilité qu’ils perçoivent et la crainte d’une remise en cause des libertés et de leur vie privée, les Français ne sont pas massivement favorables ou opposés à ce décret.
52% d’entre eux y sont opposés quand 47% y sont favorables. Les plus jeunes y sont quant à eux très majoritairement opposés (65%).