En matière de cloud et d'intelligence artificielle (IA), la régulation n’est pas un frein : tel est le message que Laure de La Raudière, présidente de l’Arcep, le gendarme français des Télécoms, est allée porter fin juin à Bruxelles devant les parlementaires européens. Alors que la Commission mène une consultation publique sur l’avenir des politiques en matière de cloud et d’IA, le régulateur français des télécoms défend l'idée de doter l’Europe d’un cadre économique pro-investissement, stable et ambitieux, au service de sa souveraineté technologique. Forte de son expérience dans le secteur des télécoms — où la régulation a permis à la France de devenir le premier pays européen en matière d’abonnements très haut débit —, l’Arcep plaide pour une approche transposable aux infrastructures numériques du futur. Car l’enjeu dépasse de loin le simple déploiement de serveurs ou d’algorithmes car il s’agit d’assurer l’autonomie stratégique de l’Union européenne dans un contexte de dépen...
Concentration des posts sur Twitter le week-end
Metricool a analysé le bruit générée autour du mouvement de protestation du 20 novembre au 3 décembre : plus de 1,6 million de tweets ont été comptabilisés issus de 352 000 comptes actifs.
"Sur les réseaux sociaux, les week-ends se caractérisent par une concentration accrue d'activité. L'analyse effectuée par Metricool démontre que le nombre de publications associées aux Gilets jaunes ne cesse de s'accroître sur la période étudiée. Le premier pic d'activité intervient ainsi le week end du 24 et 25 novembre, date des premières mobilisations, et sera dépassé, le week end suivant. Les appels aux manifestations pour le samedi 1er décembre coïncident avec une activité plus intense, mais le pic d'activité a été atteint le lendemain, dimanche 2 décembre", explique Metricool que "si elle est presque entièrement concentrée en France dans les premiers temps, l'activité commence à s’étendre à d’autres pays européens depuis les journées de mobilisation des 1er et 2 décembre."
Emmanuel Macron, principale cible des Gilets jaunes
Le président de la République est devenue la principale cible des Gilets jaunes. Il s'en est d'ailleurs lui-même aperçu le 4 décembre lorsqu'il s'est rendu au Puy-en-Velai soutenir les fonctionnaires de la prréfecture incendiée. A sa sortie, il avait été copieusement insulté. De même dans les manifestatinos, c'est lui qui attire le plus de slogans hostiles.
Sur les réseaux sociaux, c'est là même chose. "Le hashtag #macron se démarque de tous les autres. Preuve que le président de la République est clairement identifié comme la cible principale du mouvement de contestation", confirme Metricool.