Dans un contexte où la société française prend de plus en plus conscience de son empreinte numérique, l'Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (ARCEP) et l'Agence de la transition écologique (ADEME) viennent de franchir un pas décisif. Ces deux institutions ont annoncé ce jeudi 12 décembre la création d'un observatoire des impacts environnementaux du numérique, une initiative qui promet de révolutionner notre compréhension des enjeux écologiques liés aux technologies de l'information. Cette plateforme, fruit d'une collaboration initiée en 2020 à la demande des ministères de la Transition écologique et de l'Économie, vise à devenir une référence incontournable en matière de données fiables sur l'empreinte environnementale du numérique. "L'observatoire a vocation à constituer une plateforme de référence en matière de données fiables et sourcées sur les impacts environnementaux du numériqu...
Concentration des posts sur Twitter le week-end
Metricool a analysé le bruit générée autour du mouvement de protestation du 20 novembre au 3 décembre : plus de 1,6 million de tweets ont été comptabilisés issus de 352 000 comptes actifs.
"Sur les réseaux sociaux, les week-ends se caractérisent par une concentration accrue d'activité. L'analyse effectuée par Metricool démontre que le nombre de publications associées aux Gilets jaunes ne cesse de s'accroître sur la période étudiée. Le premier pic d'activité intervient ainsi le week end du 24 et 25 novembre, date des premières mobilisations, et sera dépassé, le week end suivant. Les appels aux manifestations pour le samedi 1er décembre coïncident avec une activité plus intense, mais le pic d'activité a été atteint le lendemain, dimanche 2 décembre", explique Metricool que "si elle est presque entièrement concentrée en France dans les premiers temps, l'activité commence à s’étendre à d’autres pays européens depuis les journées de mobilisation des 1er et 2 décembre."
Emmanuel Macron, principale cible des Gilets jaunes
Le président de la République est devenue la principale cible des Gilets jaunes. Il s'en est d'ailleurs lui-même aperçu le 4 décembre lorsqu'il s'est rendu au Puy-en-Velai soutenir les fonctionnaires de la prréfecture incendiée. A sa sortie, il avait été copieusement insulté. De même dans les manifestatinos, c'est lui qui attire le plus de slogans hostiles.
Sur les réseaux sociaux, c'est là même chose. "Le hashtag #macron se démarque de tous les autres. Preuve que le président de la République est clairement identifié comme la cible principale du mouvement de contestation", confirme Metricool.