Friedrich Merz et Emmanuel Macron - Photo Bundesregierung / Jesco Denzel. Réunis à Berlin pour un sommet sur la souveraineté numérique, la France et l’Allemagne ont scellé une feuille de route commune pour renforcer l’autonomie technologique européenne. Simplification réglementaire, normes de protection des données, investissements massifs et développement d’une IA d’avant-garde structurent cette stratégie, alors que l’Europe tente de combler son retard face aux États-Unis et à la Chine. Le hasard fat parfois bien les choses. Alors qu’un Sommet sur la souveraineté numérique européenne s’est tenu ce mardi 18 novembre à Berlin, le monde et donc l’Europe faisaient face à de nombreux sites internet en panne. Plusieurs sites, dont le réseau social X et la page d’accès de l’agent conversationnel ChatGPT, ont été perturbés en raison d’un incident technique touchant le fournisseur américain de services Cloudflare, utilisé par 20 % des sites dans le monde. On aurait voulu démontre...

La rumeur a longtemps circulé sur internet mais cette fois, c'est sûr : Google va bien lancer ce mardi 2 septembre dans plus de 100 pays dont la France son navigateur internet (en version bêta), baptisé Chrome. L'information a été confirmée sur le blog des développeurs de Google de façon très orginale puisqu'il s'agit d'une BD de 38 pages, dévoilée dès lundi par le dessinateur McCloud.
« L'interface du navigateur est simple, dépouillée (...) Comme la page d'accueil classique de Google, Google Chrome est propre et rapide (...) Sous le capot, nous avons réalisé les fondations d'un moteur capable de bien mieux gérer la complexité des applications web d'aujourd'hui. Nous avons amélioré la vitesse et le temps de réponse. Nous avons également développé un moteur JavaSript plus puissant, V8, pour gérer la prochaine génération d'applications web », ont déclaré deux ingénieurs de Google sur le blog du moteur de recherche.
Google Chrome est un navigateur internet Open Source basé sur le WebKit d’Apple comme le navigateur Safari. Surtout, il apparaît comme un sérieux concurrent du navigateur de Microsoft, Internet explorer, mais aussi de Firefox, le navigateur de la fondation Mozilla.
En venant bousculer le marché des navigateurs internet, Google poursuit une stratégie d'intégration complète : de multiples services (email, partage de photos, recherches web, lecteur RSS, groupes de discussions, plans...) accessibles sur un navigateur multiplateformes (Google Chrome) qui devrait bien sûr équiper Google Androïd, le système d'exploitation que construit Google pour les téléphones portables et qui s'annonce comme un redoutable concurrent face à l'iPhone d'Apple ou aux smartphones Microsoft Windows Mobile...