Mike_Shots/Shutterstock Par Caroline Diard , TBS Education et Vincent Meyer , EM Normandie Le contrat de travail donne à l’employeur un pouvoir de direction, incluant le contrôle des tâches effectuées en contrepartie d’une rémunération. Mais peut-on vraiment surveiller les télétravailleurs à leur insu ? La généralisation du télétravail a modifié le lieu d’exercice du travail – en mode nomade, à domicile, en tiers-lieu – et provoqué une imbrication des temps et espaces de vie. La banque états-unienne Wells Fargo a licencié une dizaine de collaborateurs au motif que ses salariés utilisaient un simulateur de mouvement de souris pour contrer le logiciel installé par leur employeur pour contrôler leur activité. Le géant bancaire brésilien Itaú a, quant à lui, tranché la question de la productivité de ses salariés en télétravail de façon radicale avec le licenciement de 1 000 salariés. Ces deux affaires très médiatisées interroge...

Et si chaque fois que l'on faisait une recherche sur internet, on contribuait à faire une bonne action humanitaire ? Tel est le pari fait par Doona (www.doona.fr). Ce moteur de recherches, piloté depuis 2006 par l'association éponyme, a un fonctionnement original. L'internaute fait une recherche et la page de résultats est assortie de publicités. L'argent des annonceurs est gardé par Doona qui le reversera intégralement sous forme de dons à l'association dont le projet présenté sur le site aura recueilli le plus de suffrages. Doona propose aux internautes qui voudraient s'investir plus avant d'adhérer avec une cotisation à 6 ou 12€. Le moteur de recherches vient de lancer sa nouvelle version avec plusieurs améliorations comme les suggestions de recherches ou les vignettes des résultats.