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Facebook, YouTube, TikTok... : les enjeux de la mort numérique sur les réseaux sociaux

Dans notre société hyperconnectée, la question de la mort numérique s’impose comme un enjeu majeur. Que deviennent nos données personnelles, nos photos, nos publications sur les réseaux sociaux une fois que nous ne sommes plus là pour les gérer ? Cette problématique, longtemps négligée, fait désormais l’objet d’une attention particulière de la part des législateurs et des géants du web. En France, dès 2014, la CNIL s’était saisie du sujet. Deux ans plus tard, la loi pour une République numérique a posé les premiers jalons d’un cadre légal. Elle reconnaît le droit à la mort numérique et permet aux internautes de définir des directives concernant la conservation et la communication de leurs données personnelles après leur décès. Ces directives peuvent être générales ou particulières, et désigner une personne chargée de leur exécution. Les proches du défunt se voient également reconnaître certains droits. En l’absence de directives, ils peuvent demander la clôture des comptes, leur mise à

Un 4e écran à la maison


Et si un nouvel écran faisait son entrée à la maison ? Après l'écran de la télévision, celui de l'ordinateur et celui du téléphone mobile, constructeurs et opérateurs misent sur un nouveau type d'appareils, nomades et simplifiés, dont les usages restent encore à inventer. Il s'agit de petites tablettes avec écran tactile connectées à la box internet du domicile en Wifi et qui sont censées bouger de pièce en pièce pour adopter des fonctionnalités différentes selon les besoins.

Posée sur le plan de travail de la cuisine, la tablette fait défiler la recette piochée sur un site web gastronomique. Installée sur la table de chevet, elle sert de cadre pour afficher ses photos numériques, écouter la radio ou des podcasts audio-vidéo et, bien sûr, se réveiller le matin en musique. Sur un coin de bureau, elle permet de jeter un œil au dernier flash d'une chaîne info de la TNT ou de recevoir les alertes de mise à jour de ses blogs préférés. Sur le meuble de l'entrée, elle sert pour toute la famille à laisser des pense-bêtes audio, à consulter les conditions météo ou le statut Facebook des amis.

On le voit, les usages de ces tablettes qui n'ont pas encore trouvé de nom générique - hormis un pas très joli MID (Mobile Internet Device) - sont très variés. Plusieurs modèles sont actuellement sur le marché. L'un des plus joli et des plus aboutis est le Chumby, fabriqué par la société américaine éponyme. Il n'est toutefois commercialisé qu'aux États-Unis (200 $). En France, Orange et SFR se sont lancées sur le marché en espérant chacune convaincre ses clients de faire de ces tablettes une extension logique de leur Livebox ou Neufbox.

Chez Orange, la Tabbee avec écran 7'' est commercialisée 249€. (http://www.tabbee.fr/). Chez SFR, le Huster est plus rudimentaire (il ne permet pas de surfer sur internet) mais plus simple et moins cher à 129 € (hubster.sfr.fr).

Enfin, on peut signaler le BenQ S6 ou l'Archos 9 qui se rapprochent davantage des ordinateurs ultraportables (450 €).




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