Par Arnaud Marquant, directeur des opérations KB Crawl SAS À l'aube d'une nouvelle ère numérique, la Journée mondiale de la sauvegarde des données, célébrée le 31 mars, nous offre un moment de réflexion critique sur notre rapport aux données. Dans une époque marquée par une digitalisation accrue, la sauvegarde des données se positionne au cœur des débats sur la sécurité, la conformité et la continuité des activités. De bonnes pratiques de sauvegarde essentielles La sauvegarde des données commence par des gestes simples mais cruciaux d'hygiène numérique, préconisés par des institutions telles que l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) en France. Ces mesures de base incluent la réalisation de copies de sauvegarde régulières, la mise à jour des systèmes et des applications, ainsi que la sensibilisation à la cybersécurité. Le renforcement du cadre juridique autour de la gestion des données personnelles, comme le Règlement général sur la pro
Certains déplorent parfois - et souvent à tort - le manque d'adaptation de l'État aux nouvelles technologies. Ce n'est pas le cas du ministère des Affaires étrangères et européennes (www.diplomatie.gouv.fr) qui vient de dévoiler une application pour iPhone, Ipod Touch et téléphones fonctionnant sous Google Android. Téléchargeable gratuitement, l'application « Conseils aux voyageurs » « permet de trouver toutes les réponses à vos questions grâce à des mises à jour en temps réel, une navigation intuitive et une organisation simple par pays et par thèmes (grippe A H1N1, séisme, accident, etc.) », explique le Quai d'Orsay. Pour chaque pays, on peut s'informer sur la sécurité, les numéros utiles, l'entrée/séjour, les transports, la santé et prendre connaissance des alertes de dernière minute pour les risques en cours. Le ministère est la première administration à offrir ce type de service aux internautes.