Jamais VivaTech n’avait autant misé sur l’intelligence artificielle : plus de 40 % des exposants présentaient cette année des solutions fondées sur des technologies d’IA, qu’elles soient génératives, prédictives, embarquées ou souveraines. L’AI Avenue, animée notamment par Salesforce, a vu défiler une foule dense autour des démonstrations de startups comme Buddyo, Vrai AI ou Next. Plusieurs annonces ont également rythmé ces quatre jours, à commencer par la création de “Mistral Compute” – une nouvelle infrastructure européenne de calcul IA lancée en partenariat entre NVIDIA et Mistral AI. Pour la première fois, le GTC Paris – grand-messe technologique de NVIDIA – s’est tenu dans le cadre de VivaTech, symbolisant la convergence des écosystèmes. Un carrefour mondial d’entrepreneuriat Avec plus de 14 000 jeunes pousses venues de 120 pays et 50 pavillons nationaux, VivaTech s’est imposé comme le cœur battant du capital-risque européen. Les investisseurs les plus influents (Accel, Sequo...
Après la polémique sur les conditions de la visite de Luc Chatel à la rentrée dans un supermarché où des employées jouaient des clientes ravies, l’exécutif doit faire face à une nouvelle polémique soulevée par des journalistes de la télévision belge. Ceux-ci ont mis le doigt sur les conditions particulières de la visite effectuée par Nicolas Sarkozy à l’usine Faurecia de Caligny jeudi dernier. Enquêtant sur les coulisses du déplacement présidentiel, les journalistes ont interrogé l’une des salariés qui se trouvait placée sur la tribune présidentielle pour lui demander si elle avait été sélectionnée pour sa petite taille. La réponse fut « oui », laissant penser que Nicolas Sarkozy ne voulait pas être placé devant des personnels plus grand que lui.
L’extrait vidéo tourné par la RTBF a suscité un incroyable buzz sur internet – 80 000 visionnages sur Dailymotion, 27 000 sur YouTube – et ouvert une nouvelle polémique pour savoir si c’est à la demande de l’Élysée que les « petits » de Faurecia avaient été convoqués. Le palais présidentiel juge l’histoire « grotesque » ; Frédéric Lefebvre (UMP) dénonce des « allusions malveillantes » et assure que c’est l’usine qui avait la « maîtrise totale de l’organisation de la visite », ce qu’a confirmé la direction de Faurecia. Sauf qu’un syndicaliste CFDT de la société a appuyé hier la version présentée par la télévision belge, précisant que le casting des « petits » était une demande de l’Élysée.
L’épisode a fait en tout cas la joie de la presse européenne. La mise en scène a évoqué les années Ceaucescu à un quotidien roumain et l’Independant de Londres a rappelé que Napoléon était plus grand que Sarkozy. Perfide Albion…
L’extrait vidéo tourné par la RTBF a suscité un incroyable buzz sur internet – 80 000 visionnages sur Dailymotion, 27 000 sur YouTube – et ouvert une nouvelle polémique pour savoir si c’est à la demande de l’Élysée que les « petits » de Faurecia avaient été convoqués. Le palais présidentiel juge l’histoire « grotesque » ; Frédéric Lefebvre (UMP) dénonce des « allusions malveillantes » et assure que c’est l’usine qui avait la « maîtrise totale de l’organisation de la visite », ce qu’a confirmé la direction de Faurecia. Sauf qu’un syndicaliste CFDT de la société a appuyé hier la version présentée par la télévision belge, précisant que le casting des « petits » était une demande de l’Élysée.
L’épisode a fait en tout cas la joie de la presse européenne. La mise en scène a évoqué les années Ceaucescu à un quotidien roumain et l’Independant de Londres a rappelé que Napoléon était plus grand que Sarkozy. Perfide Albion…