Par Jean-François Cerisier , Université de Poitiers L’usage de l’intelligence artificielle générative est désormais massif dans les nouvelles générations étudiantes, bousculant les codes et les enjeux de l’évaluation des connaissances. Voilà qui pose un certain nombre de dilemmes aux universités. Comment peuvent-elles repenser leurs examens pour maintenir la crédibilité des diplômes ? S’il existe vraiment des innovations de rupture dans l’éducation, les usages des intelligences artificielles génératives pourraient être de celles-là. Ce n’est rien moins qu’un nouveau rapport au savoir qui s’instaure sous nos yeux. À l’université, c’est probablement l’évaluation des apprentissages et le risque de triche qui soulèvent le plus de questions. Les fraudes sont difficiles à observer. Par définition la triche est cachée et il est difficile de la différencier des utilisations légitimes des intelligences artificielles génératives. De plus, il n’existe pas à ce jo...
Le mois de juillet confirme la tendance observée au mois de juin, avec une hausse sensible des spams : 78,3 % en juillet 2014, contre 75,6 % en juin 2014. « L’augmentation du nombre de spams s’est poursuivie au mois de juillet avec l’expansion des botnets. De plus, le volume de mails étant plus faible en été, les mails légitimes sont également moins nombreux et donc les spams gagnent du terrain » explique Régis Bénard, consultant technique Vade Retro.
« Le phénomène des spams US a été particulièrement marqué en juillet. Il s’agit de messages de spams ciblés dont les domaines expéditeurs sont souvent en .us -- difficiles à détecter par leur ressemblance avec une publicité classique, ceux-- ci se distinguent par de gros volumes mais restent peu dangereux, car il s'agit de promouvoir des produits illicites ».
