Par Ahmed Azough , Pôle Léonard de Vinci Si, aujourd’hui, nous sommes habitués à surfer sur Internet, partie émergée d’un énorme iceberg de données interconnectées, les évolutions technologiques récentes devraient bientôt nous permettre de nous immerger dans cet océan bouillonnant de big data. L’immersion vise à procurer à l’utilisateur un sentiment de présence en utilisant des technologies de captation et restitution sensorielle : l’utilisateur se sent transporté dans l’environnement digital créé par des technologies numériques, à tel point qu’ il ressent ces objets numériques virtuels comme faisant partie de sa réalité . De leur côté, les systèmes numériques détectent et interprètent de mieux en mieux les comportements et les émotions de leurs interlocuteurs , à tel point que l’humain a l’impression que ce système est conscient de sa présence et interagit volontairement. Les films Matrix et plus récemment Ready Player One reflètent bien cette idée : s’interposer entre
Comment susciter facilement et simplement le don des visiteurs d'un château ou d'un musée pour la préservation de ces derniers ? C'est tout le sens de l'initiative de HEOH qui vient d'être mise en avant à l’occasion du Salon des Maires et des Collectivités locales, et qui vient de recevoir le soutien de Visa Europe.
Concrètement, il s'agit d'installer des bornes physiques dans un certain nombre de monuments publics. Ces bornes permettront aux visiteurs de faire un don en utilisant leur carte Visa sans contact. Les dons ainsi collectés seront dédiés à la restauration des monuments et à la préservation du patrimoine.
"Associant l’expertise d’HEOH en termes de solutions innovantes de collecte de dons et l’engagement de Visa dans la démocratisation des nouveaux moyens de paiement, cette initiative ouvre la voie à de nouveaux usages du sans contact, déjà présent dans le quotidien des Français. Simple, rapide et sécurisé, le sans contact facilite le passage à l’action des visiteurs de ces monuments qui souhaitent apporter leur contribution à des projets d’intérêt public", explique Visa.