Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Comment susciter facilement et simplement le don des visiteurs d'un château ou d'un musée pour la préservation de ces derniers ? C'est tout le sens de l'initiative de HEOH qui vient d'être mise en avant à l’occasion du Salon des Maires et des Collectivités locales, et qui vient de recevoir le soutien de Visa Europe.
Concrètement, il s'agit d'installer des bornes physiques dans un certain nombre de monuments publics. Ces bornes permettront aux visiteurs de faire un don en utilisant leur carte Visa sans contact. Les dons ainsi collectés seront dédiés à la restauration des monuments et à la préservation du patrimoine.
"Associant l’expertise d’HEOH en termes de solutions innovantes de collecte de dons et l’engagement de Visa dans la démocratisation des nouveaux moyens de paiement, cette initiative ouvre la voie à de nouveaux usages du sans contact, déjà présent dans le quotidien des Français. Simple, rapide et sécurisé, le sans contact facilite le passage à l’action des visiteurs de ces monuments qui souhaitent apporter leur contribution à des projets d’intérêt public", explique Visa.