L’Arcep publie la deuxième édition de son observatoire dédié à l’extinction des réseaux 2G et 3G. Malgré la baisse constatée au troisième trimestre 2025, 5,6 millions de cartes SIM restent actives sur ces technologies en France métropolitaine, alors que les opérateurs approchent des échéances de coupure. À un an des premières échéances d’extinction annoncées par les opérateurs, l’Arcep affine son diagnostic sur la transition vers les technologies 4G et 5G. La deuxième édition de l’observatoire lancé en septembre 2025 confirme un recul du parc de cartes SIM encore limité aux réseaux 2G ou 3G/2G, mais le volume résiduel demeure significatif : 5,6 millions d’unités en service à fin septembre. Sur un trimestre, le retrait de 285 000 cartes, soit – 4,8 %, traduit une dynamique engagée mais insuffisante au regard du calendrier de fermeture des réseaux historiques. L’analyse distingue clairement les usages. 2,6 millions de cartes SIM, représentant 47 %...
A l'occasion du World Backup Day, qui se tient ce vendredi 31 mars, Acronis a mené une enquête auprès de plus de 200 Français afin de connaître leurs rapports à la perte de données et leurs habitudes de sauvegarde.
Le constat est éloquent. Presque la moitié des répondants possède plus de deux terminaux (smartphones, ordinateurs, tablettes) dans leur foyer – autant d'appareils conservant des données précieuses pour l'ensemble de la famille – et plus de 40% des foyers ont déjà perdu des données ou un de leur terminal.
La perte des données est un sujet anxiogène pour les Français : plus de 39% des répondants craignent une perte de leurs fichiers multimédia (photos, vidéo et musiques) et plus de 26% ont peur de perdre des informations et documents personnels.
Pour autant, cette peur ne les pousse pas à adopter les bonnes pratiques de sauvegarde. Plus de 50% des répondants sauvegardent leurs fichiers uniquement à l'aide d'un espace de stockage local (disque dur, clé, etc). Plus alarmant encore : 21% ne sauvegardent pas du tout leurs données.
La sécurité est l'aspect le plus important de la sauvegarde pour presque 32% des répondants, pourtant seulement un peu moins de 19% des répondants ont déclaré connaître l'existence des ransomwares et savoir s'en protéger. Si le nombre de répondants ayant été victimes de ce malware n'est que de 5% aujourd'hui, il pourrait rapidement augmenter dans les mois et les années à venir et si les bonnes pratiques ne sont pas adoptées d'ici là les conséquences pourraient être désastreuses pour bon nombre de particuliers.
