Selon le baromètre publié par L’Étudiant à l’occasion de son Salon du journalisme, marketing et communication, 85 % des 15-20 ans voient dans le journalisme un métier d’utilité sociale. Mais ils pointent aussi les réseaux sociaux et l’intelligence artificielle comme les principaux vecteurs de désinformation. Le journalisme conserve, aux yeux des 15-20 ans, une valeur essentielle : celle de servir l’intérêt collectif. Tel est l’un des enseignements majeurs du baromètre publié par le magazine L’Étudiant à l’occasion de son Salon du journalisme, marketing et communication, organisé le 8 novembre prochain au Newcap Event Center à Paris. Pour 85 % des jeunes interrogés, le métier de journaliste remplit une fonction d’utilité sociale en informant et en sensibilisant. Mais cette reconnaissance ne va pas sans ambivalence : 23 % regrettent qu’il soit peu valorisé, et 58 % jugent que son influence s’est affaiblie face à la vitesse de circulation des contenus...
"De l’adresse email au numéro de téléphone privé, en passant par le lieu de travail et la date de naissance, la quantité d’informations personnelles qui circulent en ligne est conséquente, et alarmante. Les Européens ont perdu la trace de leurs données personnelles et n’ont aucune idée du chemin que celles-ci peuvent emprunter", explique l'éditeur d'antivirus Kaspersky qui vient de mener une étude sur les données personnelle des Européens. Peu de conscience de la valeur des données personnelles, ni des mesures de sécurité élémentaires 64 % des personnes interrogées reconnaissent ne pas vraiment savoir où sont stockées leurs données personnelles sur le Web. 39 % des parents interrogés ne savent pas quelles informations personnelles leurs propres enfants s’amusent à partager en ligne. 20 % des consommateurs – soit une 1 personnes sur 5 – ne protègent pas leur connexion Wi-Fi avec un mot de passe. 31 % reconnaissent ne « jamais avoir mis à jour les options d...