Selon la dernière étude Global Digital Trust Insights 2026 de PwC, l’intelligence artificielle s’impose comme levier majeur de défense numérique. Mais la majorité des organisations restent vulnérables, faute de compétences et de stratégie claire. Face à une intensification sans précédent des menaces numériques, les entreprises accélèrent leurs efforts pour renforcer leur sécurité. D’après l’édition 2026 de l’étude Global Digital Trust Insights menée par PwC, si 78 % des organisations dans le monde prévoient d’augmenter leur budget cybersécurité cette année, seules 6 % se déclarent pleinement prêtes à affronter une cyberattaque majeure. Un chiffre qui illustre le décalage entre les ambitions stratégiques et la réalité opérationnelle. L’intelligence artificielle est LA priorité L’intelligence artificielle s’impose désormais comme LA priorité absolue des investissements cyber : 36 % des entreprises interrogées prévoient d’y consacrer une part croissante de le...
Une étude réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA révèle une France divisée sur le traçage numérique des malades du Covid-19.
En effet 45% de nos compatriotes ont une posture négative vis à vis d'une telle solution et même 27% la rejettent totalement, peu importe leur profil sociodémographique.
Que dire des Chinois ou des Coréens du Sud à qui personne n'a posé de question pour l'adopter… ?
Les craintes sont nombreuses : la perte de l'intimité et de la vie privée arrive en tête du classement avec 57% et même 70% parmi les plus jeunes.
Mais sont-ils conscients du coût que la protection de cette intimité et de la vie privé représente ? A priori oui. En expliquant qu'un traçage digital pourrait sauver plusieurs dizaines de milliers de vies et plusieurs centaines des milliers d'emplois, nous retrouvons d'une part :
Cette étude a été réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA du 30 avril au 4 mai 2020. Elle est basée sur des interviews en ligne et un échantillon de 1004 répondants âgés de 15 à 75 ans, représentatif de la population française (sexe, âge, région et CSP) suivant la méthode des quotas
En effet 45% de nos compatriotes ont une posture négative vis à vis d'une telle solution et même 27% la rejettent totalement, peu importe leur profil sociodémographique.
Que dire des Chinois ou des Coréens du Sud à qui personne n'a posé de question pour l'adopter… ?
Les craintes sont nombreuses : la perte de l'intimité et de la vie privée arrive en tête du classement avec 57% et même 70% parmi les plus jeunes.
Mais sont-ils conscients du coût que la protection de cette intimité et de la vie privé représente ? A priori oui. En expliquant qu'un traçage digital pourrait sauver plusieurs dizaines de milliers de vies et plusieurs centaines des milliers d'emplois, nous retrouvons d'une part :
- 16% de nos compatriotes qui préfèrent toujours protéger leur vie privée et leur intimité en sacrifiant les vies et les emplois
- 35% qui déclarent qu'une telle solution nécessite un consentement préalable quitte à sacrifier des vies et des emplois
- Et d'autre part 49% des français considèrent qu'une telle solution devrait être imposée sans discussion ni consentement afin de sauver un maximum de vies et d'épargner des emplois.
Cette étude a été réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA du 30 avril au 4 mai 2020. Elle est basée sur des interviews en ligne et un échantillon de 1004 répondants âgés de 15 à 75 ans, représentatif de la population française (sexe, âge, région et CSP) suivant la méthode des quotas


