Jamais VivaTech n’avait autant misé sur l’intelligence artificielle : plus de 40 % des exposants présentaient cette année des solutions fondées sur des technologies d’IA, qu’elles soient génératives, prédictives, embarquées ou souveraines. L’AI Avenue, animée notamment par Salesforce, a vu défiler une foule dense autour des démonstrations de startups comme Buddyo, Vrai AI ou Next. Plusieurs annonces ont également rythmé ces quatre jours, à commencer par la création de “Mistral Compute” – une nouvelle infrastructure européenne de calcul IA lancée en partenariat entre NVIDIA et Mistral AI. Pour la première fois, le GTC Paris – grand-messe technologique de NVIDIA – s’est tenu dans le cadre de VivaTech, symbolisant la convergence des écosystèmes. Un carrefour mondial d’entrepreneuriat Avec plus de 14 000 jeunes pousses venues de 120 pays et 50 pavillons nationaux, VivaTech s’est imposé comme le cœur battant du capital-risque européen. Les investisseurs les plus influents (Accel, Sequo...
Une étude réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA révèle une France divisée sur le traçage numérique des malades du Covid-19.
En effet 45% de nos compatriotes ont une posture négative vis à vis d'une telle solution et même 27% la rejettent totalement, peu importe leur profil sociodémographique.
Que dire des Chinois ou des Coréens du Sud à qui personne n'a posé de question pour l'adopter… ?
Les craintes sont nombreuses : la perte de l'intimité et de la vie privée arrive en tête du classement avec 57% et même 70% parmi les plus jeunes.
Mais sont-ils conscients du coût que la protection de cette intimité et de la vie privé représente ? A priori oui. En expliquant qu'un traçage digital pourrait sauver plusieurs dizaines de milliers de vies et plusieurs centaines des milliers d'emplois, nous retrouvons d'une part :
Cette étude a été réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA du 30 avril au 4 mai 2020. Elle est basée sur des interviews en ligne et un échantillon de 1004 répondants âgés de 15 à 75 ans, représentatif de la population française (sexe, âge, région et CSP) suivant la méthode des quotas
En effet 45% de nos compatriotes ont une posture négative vis à vis d'une telle solution et même 27% la rejettent totalement, peu importe leur profil sociodémographique.
Que dire des Chinois ou des Coréens du Sud à qui personne n'a posé de question pour l'adopter… ?
Les craintes sont nombreuses : la perte de l'intimité et de la vie privée arrive en tête du classement avec 57% et même 70% parmi les plus jeunes.
Mais sont-ils conscients du coût que la protection de cette intimité et de la vie privé représente ? A priori oui. En expliquant qu'un traçage digital pourrait sauver plusieurs dizaines de milliers de vies et plusieurs centaines des milliers d'emplois, nous retrouvons d'une part :
- 16% de nos compatriotes qui préfèrent toujours protéger leur vie privée et leur intimité en sacrifiant les vies et les emplois
- 35% qui déclarent qu'une telle solution nécessite un consentement préalable quitte à sacrifier des vies et des emplois
- Et d'autre part 49% des français considèrent qu'une telle solution devrait être imposée sans discussion ni consentement afin de sauver un maximum de vies et d'épargner des emplois.
Cette étude a été réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA du 30 avril au 4 mai 2020. Elle est basée sur des interviews en ligne et un échantillon de 1004 répondants âgés de 15 à 75 ans, représentatif de la population française (sexe, âge, région et CSP) suivant la méthode des quotas