Une nouvelle étude commandée par Alteryx , la plateforme d'IA pour l'analyse d'entreprise en France, révèle que les organisations ne sont pas prêtes à tirer parti de l'IA générative en raison de leurs données. Le rapport " Data Stack Evolution : Legacy Challenges and AI Opportunities", qui a interrogé 3 100 leaders mondiaux de l'informatique, a mis en évidence des obstacles qui empêchent le déploiement réussi de l'IA générative, notamment la gestion des piles de données, la stratégie technologique et les cultures d'entreprise. Un manque de confiance envers les piles de données L’étude souligne un décalage important entre la confiance que les responsables informatiques mondiaux accordent à leurs données et la réalité de leurs piles de données. En France, alors que 43% des répondants qualifient la maturité de leurs données comme étant "bonne" ou "avancée" et que 68% ont confiance dans leurs données, un cinquième a tout de même évo
Après la polémique sur les conditions de la visite de Luc Chatel à la rentrée dans un supermarché où des employées jouaient des clientes ravies, l’exécutif doit faire face à une nouvelle polémique soulevée par des journalistes de la télévision belge. Ceux-ci ont mis le doigt sur les conditions particulières de la visite effectuée par Nicolas Sarkozy à l’usine Faurecia de Caligny jeudi dernier. Enquêtant sur les coulisses du déplacement présidentiel, les journalistes ont interrogé l’une des salariés qui se trouvait placée sur la tribune présidentielle pour lui demander si elle avait été sélectionnée pour sa petite taille. La réponse fut « oui », laissant penser que Nicolas Sarkozy ne voulait pas être placé devant des personnels plus grand que lui.
L’extrait vidéo tourné par la RTBF a suscité un incroyable buzz sur internet – 80 000 visionnages sur Dailymotion, 27 000 sur YouTube – et ouvert une nouvelle polémique pour savoir si c’est à la demande de l’Élysée que les « petits » de Faurecia avaient été convoqués. Le palais présidentiel juge l’histoire « grotesque » ; Frédéric Lefebvre (UMP) dénonce des « allusions malveillantes » et assure que c’est l’usine qui avait la « maîtrise totale de l’organisation de la visite », ce qu’a confirmé la direction de Faurecia. Sauf qu’un syndicaliste CFDT de la société a appuyé hier la version présentée par la télévision belge, précisant que le casting des « petits » était une demande de l’Élysée.
L’épisode a fait en tout cas la joie de la presse européenne. La mise en scène a évoqué les années Ceaucescu à un quotidien roumain et l’Independant de Londres a rappelé que Napoléon était plus grand que Sarkozy. Perfide Albion…
L’extrait vidéo tourné par la RTBF a suscité un incroyable buzz sur internet – 80 000 visionnages sur Dailymotion, 27 000 sur YouTube – et ouvert une nouvelle polémique pour savoir si c’est à la demande de l’Élysée que les « petits » de Faurecia avaient été convoqués. Le palais présidentiel juge l’histoire « grotesque » ; Frédéric Lefebvre (UMP) dénonce des « allusions malveillantes » et assure que c’est l’usine qui avait la « maîtrise totale de l’organisation de la visite », ce qu’a confirmé la direction de Faurecia. Sauf qu’un syndicaliste CFDT de la société a appuyé hier la version présentée par la télévision belge, précisant que le casting des « petits » était une demande de l’Élysée.
L’épisode a fait en tout cas la joie de la presse européenne. La mise en scène a évoqué les années Ceaucescu à un quotidien roumain et l’Independant de Londres a rappelé que Napoléon était plus grand que Sarkozy. Perfide Albion…