Selon la dernière étude Global Digital Trust Insights 2026 de PwC, l’intelligence artificielle s’impose comme levier majeur de défense numérique. Mais la majorité des organisations restent vulnérables, faute de compétences et de stratégie claire. Face à une intensification sans précédent des menaces numériques, les entreprises accélèrent leurs efforts pour renforcer leur sécurité. D’après l’édition 2026 de l’étude Global Digital Trust Insights menée par PwC, si 78 % des organisations dans le monde prévoient d’augmenter leur budget cybersécurité cette année, seules 6 % se déclarent pleinement prêtes à affronter une cyberattaque majeure. Un chiffre qui illustre le décalage entre les ambitions stratégiques et la réalité opérationnelle. L’intelligence artificielle est LA priorité L’intelligence artificielle s’impose désormais comme LA priorité absolue des investissements cyber : 36 % des entreprises interrogées prévoient d’y consacrer une part croissante de le...
Éric Delattre, Toulousain d’origine installé à Tokyo, a expliqué ce dimanche soir à La Dépêche, l’angoisse qui étreint les tokyoïtes face au risque nucléaire alors que les répliques du tremblement de terre sont ininterrompues depuis vendredi. «Mais il n’y a pas de panique ; il y a une grande dignité, c’est très japonais. La situatino est normale à Tokyo. Les boutiques et les restaurants sont ouverts, tout est calme. Par contre, il y a bien moins de fréquenttion que d'habitude", raconte Eric.
"Il n’y a pas de consigne du gouvernement, les gens sont chez eux et prennent des nouvelles dans le calme. Quelques stocks d’eau sont faits et lundi des coupures d’électricité sont prévues. Beaucoup vont retourner au bureau, c’est mon cas », explique Éric, directeur des services informatiques du groupe français LVMH au Japon. En revanche, suivant une recommandation de l’ambassade de France, « tous les expatriés que je connais cherchent à quitter Tokyo. Soit ils prennent la voiture et vont vers Osaka pour s’éloigner, soit ils rentrent en France. »
Air France sur la sellette
Très solidaire sur internet, la communauté française s’est offusquée hier des prix exorbitants pratiqués par Air France ; certains accusant sur Twitter la compagnie aérienne de profiter de la situatino pour gonfler ses tarifs. En fait, les prix affiché sur les sites internet d'Air France étaient conformes à ceux pratiqués d'habitude pour une réservation à 24 ou 48 heures avant un départ pour un Tokyo-Paris. Mais ces prix apparaissaient en décalage par rapport à la situation exceptionnelle que vit le Japon ; et Air France a semble-t-il tardé à mettre en place une cellule de crise à la hauteur de la situation et à même de répondre aux nombreuses questions des expatriés et de leur famille. Au téléphone ou sur Twitter, comme l'explique Erwan Gaucher sur son blog.
En revanche, les services de l’ambassade de France a Tokyo ont été très mobilisés. « Le consulat m’a fait à 1 h 30 le passeport de mon bébé d’un mois », se réjouissait Éric ce soir dont la famille va pouvoir rentrer en France d'ici mardi.
"Il n’y a pas de consigne du gouvernement, les gens sont chez eux et prennent des nouvelles dans le calme. Quelques stocks d’eau sont faits et lundi des coupures d’électricité sont prévues. Beaucoup vont retourner au bureau, c’est mon cas », explique Éric, directeur des services informatiques du groupe français LVMH au Japon. En revanche, suivant une recommandation de l’ambassade de France, « tous les expatriés que je connais cherchent à quitter Tokyo. Soit ils prennent la voiture et vont vers Osaka pour s’éloigner, soit ils rentrent en France. »
Air France sur la sellette
Très solidaire sur internet, la communauté française s’est offusquée hier des prix exorbitants pratiqués par Air France ; certains accusant sur Twitter la compagnie aérienne de profiter de la situatino pour gonfler ses tarifs. En fait, les prix affiché sur les sites internet d'Air France étaient conformes à ceux pratiqués d'habitude pour une réservation à 24 ou 48 heures avant un départ pour un Tokyo-Paris. Mais ces prix apparaissaient en décalage par rapport à la situation exceptionnelle que vit le Japon ; et Air France a semble-t-il tardé à mettre en place une cellule de crise à la hauteur de la situation et à même de répondre aux nombreuses questions des expatriés et de leur famille. Au téléphone ou sur Twitter, comme l'explique Erwan Gaucher sur son blog.
En revanche, les services de l’ambassade de France a Tokyo ont été très mobilisés. « Le consulat m’a fait à 1 h 30 le passeport de mon bébé d’un mois », se réjouissait Éric ce soir dont la famille va pouvoir rentrer en France d'ici mardi.