Selon une étude d’Amazon Ads, les petites et moyennes entreprises françaises abordent l’intelligence artificielle comme un levier stratégique majeur pour leur développement. Entre gains de productivité, économies budgétaires et ambition européenne, elles s’engagent dans une transformation publicitaire dont les effets commencent déjà à se mesurer. L’intelligence artificielle s’impose comme un nouvel allié de croissance pour les petites et moyennes entreprises françaises. D’après une étude publiée par Amazon Ads, 86 % des responsables marketing estiment que l’IA appliquée à la publicité leur permettra d’accélérer leur développement en libérant du temps pour leurs priorités stratégiques. Plus de la moitié des PME interrogées – 58 % – déclarent déjà utiliser ou expérimenter activement des outils d’IA publicitaire. Mais l’adoption reste contrastée : environ la moitié des responsables marketing reconnaissent se sentir submergés par la profusion de solutions disponibles, tandis que 64 % ne sa...
Lancé en 2015, le déploiement du nouveau compteur communicant Linky dans les 35 millions de foyers français suscite toujours une vive polémique que ce soit sur les ondes qui poseraient problème à certaines personnes ou sur les données collectées.
Ce mardi 27 mars, la Présidente de la CNIL (Commission national de l'informatique et des libertés) vient de mettre en demeure la société Direct Energie "en raison d’une absence de consentement à la collecte des données de consommation issues du compteur communicant Linky." La CNIL demande à la socoété de "se conformer à la loi dans un délai de trois mois."
Données collectées sans consentement
"A l’occasion de l’installation du compteur communicant Linky, la société a demandé au gestionnaire du réseau de distribution, la société ENEDIS, de lui transmettre les données de ses clients correspondant à leur consommation journalière d’électricité ainsi que les données de consommation à la demi-heure. Ces données ne peuvent cependant être recueillies qu’après avoir obtenu le consentement des personnes concernées", observe la CNIL, qui avait décidé en octobre 2016 et février 2018 de diligenter des contrôles afin de s’assurer de la conformité de ce dispositif à la loi Informatique et Libertés de 1978.
Ce sont ces contrôles ont conduit à constater un manquement concernant le consentement à la collecte des données de consommations quotidiennes.