Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
Le télétravail, qui peine à décoller en France, est en tout cas au coeur du débat du fonctionnement des entreprises. 17% des actifs français sont des télétravailleurs, contre 50% en Suède par exemple. Et les Français restent partagés sur la possibilité de pouvoir travailler depuis chez soi. Fin 2016, une étude de Ranstad montrait que 64% des salariés y sont favorables. Dans le détail, 17% souhaitent télétravailler un nombre de jours fixe par semaine, 35% télétravailler occasionnellement, en moyenne 2,5 jours par semaine, et 12% seulement le faire chaque jour ouvrable. L'ancien ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, lorsqu'il était candidat de la primaire de gauche, proposait d'ailleurs d'arriver à 20% de télétravailleurs en France, notamment pour revivifier les campagnes. A contrario, selon un sondage YouGov paru en janvier. 48% des Français indiquaient ne pas être du tout intéressés à l'idée de travailler distance, 30% l'envisager à temps partiel...