L’Arcep publie la deuxième édition de son observatoire dédié à l’extinction des réseaux 2G et 3G. Malgré la baisse constatée au troisième trimestre 2025, 5,6 millions de cartes SIM restent actives sur ces technologies en France métropolitaine, alors que les opérateurs approchent des échéances de coupure. À un an des premières échéances d’extinction annoncées par les opérateurs, l’Arcep affine son diagnostic sur la transition vers les technologies 4G et 5G. La deuxième édition de l’observatoire lancé en septembre 2025 confirme un recul du parc de cartes SIM encore limité aux réseaux 2G ou 3G/2G, mais le volume résiduel demeure significatif : 5,6 millions d’unités en service à fin septembre. Sur un trimestre, le retrait de 285 000 cartes, soit – 4,8 %, traduit une dynamique engagée mais insuffisante au regard du calendrier de fermeture des réseaux historiques. L’analyse distingue clairement les usages. 2,6 millions de cartes SIM, représentant 47 %...
Par Antoine Chéron, Avocat associé, www.acbm-avocats.com Outre les aspects économiques et sociaux, l’intelligence artificielle suscite de nombreuses interrogations sur le plan juridique. - Concernant la compétitivité : En premier lieu, on notera que le rapport suggère un assouplissement de la législation, à destination des start-ups notamment, afin d’inciter à la recherche et aux expérimentations. Le rapport prône par exemple la facilitation des tests de logiciel d'intelligence artificielle grâce à la création de "zones franches de l'IA" sur lesquelles "un allègement drastique des formalités administratives du quotidien, des compléments de salaire conséquents et des aides pour l'amélioration de la qualité de vie" seraient proposés. Il s’agirait donc de se libérer d’un cadre juridique et fiscal trop contraignant, qui décourage la recherche, freinant ainsi la compétitivité de la France. - Concernant la protection des données personnelles : ...